L'arrière-cour de la magnifique maison balinaise qui nous sert de guest-house dispose d'une grande piscine. Rien à voir avec les piscines occidentales, d'un bleu aussi électrique que l'eau est chlorée.
De forme ogivale, ses bords, ou affleure une eau vert-de-gris mais transparente, sont ceints de mini-douves ou tournent en boucle de gros poissons rouges ou argentés : comme une piste d'athlétisme fait le tour d'un terrain de sport. A la base de l'arrondi, une danseuse balinaise en bronze sourit, allongée a fleur d'eau.
Le soir, quand c'est la fête à la grenouille, on entend parfois un petit "plouf" au milieu du concert de coassements. C'est l'heure ou, parfois sous une brève ondée, quelques brasses silencieuses donnent un nouveau sens au mot volupté.
Quel joli tableau dans ma tête ! avec le son ;-)
RépondreSupprimer(j'ai tenté le buzz : "venez voir Calou nu dans sa piscine" ils n'ont rien vu, pfff aucune imagination... hihi)
Monsieur Arvieu,
RépondreSupprimerje vois qu'il ne vous a pas fallu beaucoup de temps pour abandonner votre marotte concernant la rigueur dans l'usage de notre belle langue, enviée tout autour de ce monde et pas que de l'"east" !
Plus aucun accent ne souligne la pertinence de vos propos, bravo ! Et n'allez pas arguer de claviers couverts de hiéroglyphes ou d'idéogrammes pour justifier une telle trahison. Vous verrez à votre retour en France que notre population a enfin retrouvé le goût des vraies valeurs traditionnelles de notre culture plus que millénaire.